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mardi 22 juin 2010

Le violon, c'est dur même avant de commencer!

La fête de la musique...


... par temps de mistral, ou pourquoi les musiciens détestent jouer dehors.
Réflexion d'une collègue: "Au moins, comme il y a du vent, on aura pas de de moustiques..."

Clic pour voir en plus grand!

J'ai aussi fait une version avec des touches de couleurs, dites moi quelle version vous préférez!


lundi 15 mars 2010








Bon, apparemment, c'est vraiment arrivé mais il n'y avait qu'un seul musicien qui cherchait et il était à quatre pattes, il va falloir que je fasse une autre version!

samedi 10 octobre 2009

Vue depuis la fosse le dimanche après-midi

Le dimanche on joue en matinée, ça veut dire qu'on joue l'après-midi, logique.

C'est le jour du 3e âge, et quand nous levons les yeux vers les balcons, nous voyons briller un mur de lunettes dans la pénombre...
Clic sur l'image pour vois plus grand.


samedi 26 septembre 2009

Planche 3

Depuis que je fais ces planches, je me suis apperçue que les musiciens comprennent les histoires que je raconte, mais pas les non-musiciens.
Je vais essayer de modifier les histoires en fonction, mais ça m'aiderait si vous me laissez un petit commentaire pour me dire ce que vous avez compris!
Ici, par exemple, si je veux expliquer il va falloir que je me lance dans des explications didactiques sur la conception des contrebasses...











jeudi 16 juillet 2009

Aujourd'hui, j'aimerais vous présenter la première planche de ce qui deviendra je l'espère une série, basée sur des moments vécus de la vie de musicien.
Pas encore de titre...
***


Vous est-il déjà arrivé un de ces moments où un parfait inconnu, complètement bourré de surcroît, vous appelle par votre prénom dans la rue ?
Il m’est arrivé quelque chose de similaire l’autre jour, j’étais dans le bus avec un gros type qui avait l’air à la limite de la clochardisation ou du simple d’esprit…







J’étais tellement estomaquée que je n’ai rien répondu.
J’avais une impression de décalage étrange : il s’agissait d’un commentaire digne des brèves de comptoir, et pourtant c’était tellement vrai, surtout pour moi…